En-tête de la Bauge littéraire

Catégorie : en-tête

  • Josep Giró, Seule à la plage

    On ne pré­sente plus Josep Giró, le des­si­na­teur cata­lan qui a signé une grande par­tie des en-têtes et des illus­tra­tions qui font de la Bauge un si grand délice pour les yeux. Et qui illus­trent à mer­veille l’a­mour immense que votre ser­vi­teur porte à la sai­son esti­vale avec ses plai­sirs bal­néaires et char­nels. Com­ment donc…

  • Tael Arte – Les ambi­va­lences du désir

    Tael Arte – Les ambi­va­lences du désir

    Comme vous le savez, je suis tou­jours à la recherche d’artistes – confir­més ou non – pour embel­lir mon repaire sur la Toile. Très sou­vent, je croise ceux-ci sur Devian­tArt, un site qu’il faut sans aucun doute citer par­mi les com­mu­nau­tés d’artistes les plus cou­rues et les plus influentes. Mais DA étant loin d’être la…

  • Josep Giró et l’inspiration mythologique

    Josep Giró et l’inspiration mythologique

    J’ai pré­sen­té à mes lec­trices et lec­teurs, il y a à peine quelques jours, la nou­velle patronne de la Bauge lit­té­raire, la belle démo­nesse ori­gi­naire de l’Ancien Orient d’où elle s’est envo­lée pour venir han­ter nos fan­tasmes et nos cau­che­mars. J’ai nom­mé la pre­mière femme d’Adam, la Reine de la Nuit, Lilith, que vous pou­vez…

  • Lau­ra­li­tious ou – pour­quoi de si grands yeux ?

    Cer­tains l’au­ront sans doute remar­quée, la belle fille aux yeux énormes qui sou­haite la bien­ve­nue aux visi­teurs qui arrivent par la grande porte du site, à savoir en ren­sei­gnant direc­te­ment l’a­dresse du site dans leur navi­ga­teur au lieu de faire confiance à un moteur de recherche qui, en géné­ral, tend à les poin­ter vers un…

  • Fabri­zio Pasi­ni, Une Sirène pour la Bauge littéraire

    Le confi­ne­ment n’est pas une rai­son pour arrê­ter de tra­vailler sur la Bauge lit­té­raire, plu­tôt le contraire. Et comme per­sonne ne sait ce que les mois sui­vants vont appor­ter – et ce qu’il en sera des vacances d’é­té – c’est une rai­son sup­plé­men­taire pour pro­po­ser aux lec­teurs un espace pour se chan­ger les idées afin…

  • DLo 168 – L’é­té en lisant

    L’é­té approche à grands pas, et le San­glier a tout mis en œuvre pour gâter – une fois encore – ses lec­trices et ses lec­teurs en leur pro­po­sant une illus­tra­tion esti­vale exé­cu­tée rien que pour les fidèles du site, les incon­di­tion­nels de nudi­té et de sexe qui n’ont pas honte, à l’ins­tar du maître de…

  • Arem Befan­ti – clin d’œil du car­toon au Manga

    Je ne sais pas si vous avez jamais croi­sé la route d’une dénom­mée Cla­ris­sa, mais comme ce beau nom aux conso­nances latines signi­fie tout sim­ple­ment « la plus belle », vous en aurez sans doute gar­dé un bon sou­ve­nir. Quant à moi, la seule que j’aie pu fré­quen­ter est un per­son­nage créé par un jeune artiste fran­çais…

  • Julia Sinope, A girl’s best friend – en-tête pour la Bauge littéraire

    Si vous deviez devi­ner quel était mon ani­mal pré­fé­ré, je suis sûr que vous com­men­ce­riez par dire « Chatte », le tout sans doute accom­pa­gné par un petit sou­rire mali­cieux face à l’é­vi­dente lubri­ci­té d’une telle ques­tion, mais aus­si par l’é­vi­dence avec laquelle une telle réponse semble s’im­po­ser s’a­gis­sant de l’au­teur des aven­tures de Marie et de…

  • Josep Giró – le sou­rire impudique

    Depuis le temps, vous connais­sez mon goût pour l’univers artis­tique déjan­té de chez Devian­tArt et vous n’êtes pas non plus sans savoir que j’engage régu­liè­re­ment des artistes pour embel­lir ma sombre demeure. La plu­part du temps, ce sont de nou­velles ban­nières qui viennent enri­chir la col­lec­tion des­ti­née à contri­buer à une expé­rience de lec­ture plus…

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  • Éric Mal­terre, La beau­té de la grisaille

    J’ai ren­con­tré Éric Mal­terre, vous l’au­rez devi­né, sur Deviant Art. Et com­ment pas­ser à côté d’un artiste capable de créer des beau­tés comme cette jeune femme négli­gem­ment allon­gée sur des draps qu’on ima­gine par­fu­més des odeurs d’une nuit de débauche, les yeux fer­més pour mieux conser­ver la cha­leur des sou­ve­nirs, et les mains négli­gem­ment posées…