La Bauge littéraire existe depuis treize ans déjà, et elle a plusieurs fois changé de look au cours des années. Une bonne partie des changements a sans doute été influencés par une meilleure maîtrise des outils informatiques de la part de votre serviteur, mais le souci principal de celui-ci a toujours été la bonne lisibilité des articles et la pertinence des contenus. Des contenus censés s’afficher dans un environnement convivial où rien ne viendrait distraire l’attention – voire le plaisir – des lecteurs.
Le détail qui a déclenché une décision contemplée depuis un certain temps déjà a été le fait que je n’ai pu installer une mise à niveau du thème Septera, thème qui a régi l’apparence du site depuis à peu près trois ans. Un autre élément a été fourni par le développement de WordPress, le système sous-jacent d’administration de contenus de la Bauge, WordPress ayant mis à la disposition des administrateurs le « full site editing », un moyen de donner à ceux-ci un peu plus de liberté face aux développeurs de thèmes et de leur permettre de prendre les commandes de l’aspect visuel de leurs sites. J’ai donc installé la version la plus récente de WordPress et je suis parti sur les bases d’un nouveau thème exploitant les nouvelles capacités : Bricksy par Anariel Design.
Avant de jeter un coup d’œil sur les changements, voici d’abord ce qui n’a pas changé. C’est, d’un côté, l’affichage des en-têtes, ces belles liseuses dans des positions plus ou moins indécentes rassemblées ici pour illustrer le propos du site, et de l’autre la perversité des contenus, choisis en fonction des goûts littéraires de l’occupant du site et de celles et ceux qui viennent y consulter les mets à l’ordre du jour. Soyez donc rassurés, l’essence même de la Bauge ne change pas, et ne changera sans doute jamais.
Ce qui a bien changé, par contre, c’est l’affichage des articles et des contenus. Sur la page d’accueil vous trouverez désormais – en fonction de votre appareil, bien sûr – les articles rangés en colonnes – deux pour les grands écrans, une seule pour les petits – avec au menu : le titre et un extrait, le tout accompagné par l’illustration mise en avant comme vous pouvez le voir dans la capture d’écran suivante.

Si vous consultez la Bauge sur votre smartphone, il n’y aura qu’une seule colonne afin de conserver une bonne lisibilité. Les articles eux-même se présentent de façon plus aérée, libérés de tout élément superflu afin de permettre aux internautes de se concentrer sur les contenus amoureusement mis à votre disposition par votre humble serviteur. Légère différence par rapport à la version précédente : les méta-informations relatives à l’article – nom de l’auteur, date de publication, catégories et étiquettes – se présentent toutes en début d’articles pour rendre plus consistante la navigation.
Les pages rassemblant les articles d’une même catégorie ou les résultats de recherche se présentent de la même façon que l’accueil, le Sanglier n’ayant pas trouvé de raison valide pour diverger du modèle une fois retenu.
Vous aurez remarqué que j’ai retenu le menu qui s’affiche en haut à gauche de l’écran et qui permet de naviguer sur le site et d’explorer notamment – sous l’étiquette « Rubriques » – les pages d’auteur et les pages rassemblant les différentes Lectures estivales à travers les années. Un petit changement : le champ de texte vous permettant d’effectuer une recherche sur l’ensemble du site s’affiche désormais de façon permanente :

Des changements plus importants ont eu lieu dans une zone que vous ne visiterez sans doute que peu souvent, à savoir le pied de page, où se trouvent désormais :
- une très brève présentation du site
- un aperçu de mes textes littéraires avec des liens vers Amazon
- un raccourci pour vous rendre sur la page d’index où j’ai rassemblé des liens vers toutes les autrices et tous les auteurs présents dans la Bauge

J’espère que c’est surtout ce dernier élément qui facilitera aux curieux de plonger le nez dans les richesses patiemment rassemblées sur le site. Je vous assure qu’il y a de belles découvertes à faire parmi des centaines d’autrices et d’auteurs.
Avec tout ça, j’espère évidemment que le site aura gardé son attrait principal, celui de fournir aux internautes des pistes pour explorer l’indécence, la perversité et de façon générale toute la matière à cul qui n’attend que vous pour vous plonger dans l’extrême richesse d’un domaine où vous trouverez l’essence même de ce qui nous rend humain.