
Certains l’auront sans doute déjà remarquée, la belle jeune femme [1]Une petite remarque pour expliquer son effacement temporaire : la demoiselle en question a provisoirement dû céder sa place, engagement européen du propriétaire de ces pages obligeant, à la … Continue reading qui se dresse depuis quelques semaines à côté des articles que vous êtes venus lire ici. Et si vous avez poussé la curiosité jusqu’à feuilleter à gauche et à droite, au gré des liens proposés ou de vos envies de lecture, vous aurez sans doute remarqué que la demoiselle en question change de garde-robe à chaque fois que vous changez de page, tour à tour cachant ou dévoilant aux internautes des détails de sa ravissante anatomie.
On s’en doute qu’elle n’est pas là uniquement pour le plaisir des mateurs, encore que ce serait sans aucun doute une explication tout à fait raisonnable pour qui est au courant des habitudes du Sanglier. Mais vous avez raison de vous poser des questions, car sa présence s’explique par un besoin ressenti depuis longtemps, à savoir celui de donner à la Bauge littéraire un visage qui pourrait en même temps servir de logo, voire de mascotte, en incarnant l’esprit de tentation qui règne en maître sur les textes et les dessins que je propose à l’intention des happy few qui me font l’honneur de régulièrement visiter ces colonnes.

La Bauge a bien sûr déjà eu un logo, et certains se souviennent sans doute de l’avoir vu s’afficher dans la bannière du site, un Sanglier posant fièrement devant une étagère bien garnie de livres, logo gracieusement offert par mon ancien collègue de chez Edicool, Hervé Fuchs. Sauf que, s’il décore toujours mon Mission Statement, il est pratiquement absent du reste du site d’où il a doucement disparu au gré des adaptations successives de son look. Et aujourd’hui, celui-ci est placé sous le signe du Nu artistique propulsé par des bannières dont le site propose déjà une bonne vingtaine aux visiteurs pour agrémenter le séjour des lecteurs et pour créer un lien entre la présentation du site et le contenu proposé, à savoir des textes et des dessins en très grande partie érotiques.

Tout cela m’a travaillé pendant assez longtemps, et si je me suis dit à plusieurs reprises que la Bauge avait bien besoin d’un nouveau logo, d’une sorte d’identité pour mettre en avant l’accent érotique du site, cela n’était pas non plus une préoccupation de tous les jours, la Bauge n’étant pas un site à vocation commerciale. Finalement ce fut, après de longs mois d’un travail souterrain, encore une fois une rencontre sur Deviant Art qui a rendu au sujet une nouvelle actualité. Je m’explique : Sur les sites comme Deviant Art ou Artstation, il y a une telle quantité d’images de tous genres que cela risque de partir en avalanche à chaque instant, emportant les imprudents dans un véritable maelstrom bariolé. Et on sait tous que la seule quantité n’arrange rien quand il s’agit précisément de trouver les quelques perles au fond d’un océan de médiocrité – un peu comme dans les rangées d’étagères aussi virtuelles qu’interminables qu’Amazon met à la disposition de ses auto-édités. Il faut donc développer des stratégies pour s’en sortir avec un minimum de temps gaspillé, stratégie qui pour moi se borne à chercher tout ce qui correspond aux mots-clés « pin-up » et « nude » dans la catégorie « ». Si un tel procédé a l’avantage de vous débarrasser de tous les genres qui ne vous intéressent pas, on se retrouve pas moins avec des centaines d’images sur les bras. Mais comme le regard finit bien par s’éduquer à force de se frotter aux artistes, on arrive à déceler ce qui vaut d’être retenu pour une inspection plus poussée. Et parfois, il y a de ces jours où il y a dans les résultats des dessins comme ceux de Serge Fiedos dont la finesse m’a aussitôt amené à me lancer dans des recherches supplémentaires.
C’est ainsi que j’ai pu dresser une liste des sites alimentés par le Sieur Fiedos, liste dans laquelle figurait, entre autres, son repaire sur Artstation dont je tiens à vous donner un aperçu pour partager avec vous l’impression que j’ai eu d’être arrivé à l’improviste au paradis des pin-ups :

Ce qui m’a séduit au premier coup d’œil, c’est non seulement la simple beauté des personnages, mais l’efficacité qui arrive à exprimer cette beauté toute féminine avec une époustouflante économie des moyens. C’est comme si la sensualité de ces femmes était exaltée par la sobriété des lignes négligemment jetées sur le papier (ou plutôt l’écran), et je ne suis pas loin d’affirmer que c’est précisément à travers le noir et le blanc, enrichi de quelques nuances de gris, que l’austère volupté de ces femmes s’exprime avec une rare puissance.
Voici donc, me suis-je dit, l’homme vers lequel il fallait me tourner pour enfin réaliser ce projet que je ruminais depuis si longtemps. Le dialogue fut vite engagé et j’ai découvert que Serge travaillait régulièrement pour des agences et des entreprises, un habitué donc de la corporate identity. On a vite fait de se mettre d’accord quant aux conditions et je n’avais plus qu’à attendre les propositions que Serge, inspiré par de nombreuses visites dans la Bauge littéraire, n’allait pas tarder à me soumettre. Et c’est d’ailleurs à Serge que je dois l’idée de ne pas me contenter d’une seule image statique, mais de profiter des technologies de la Toile pour présenter aux internautes la belle dans tous ses états vestimentaires. Et voici pour la petite histoire de la belle demoiselle qui désormais, chères lectrices, chers lecteurs, vous tiendra compagnie.

Si l’eau vous est venue à la bouche en matant toutes les belles réunies dans cet article – et je vous assure que ce n’est qu’une infime partie de ce que Serge a à vous proposer – n’hésitez pas à le contacter en précisant évidemment que vous venez de la part du Sanglier : info@sergefiedos.com.
Et pour un aperçu de son art, voici quelques pistes gracieusement fournies par votre serviteur :
- Homepage : Serge Fiedos Artwork
- Serge Fiedos sur Artstation
- Serge Fiedos sur Deviant Art
- Serge Fiedos sur Instagram
- Serge Fiedos sur Facebook
Références
↑1 | Une petite remarque pour expliquer son effacement temporaire : la demoiselle en question a provisoirement dû céder sa place, engagement européen du propriétaire de ces pages obligeant, à la farouche guerrière qui trépigne d’impatience d’en venir aux mains avec les suppôts du nationalisme populiste, fléau du continent en ce début du XXIe siècle. |
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