Catégorie : auto-édition
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Marie Caron, Un été sauvage
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Marie Caron, poussée par la crainte de voir un lecteur non averti tomber sur une histoire qu’elle se plaît à caractériser de « sensuelle, tendre, croustillante » et dont elle avoue en toute franchise qu’elle recèle même des « interludes charnels », fait précéder son texte d’une Note personnelle pour mettre tout le monde en garde. Malheureusement, elle ne se borne pas à…
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Lectures estivales 2015 – Les titres
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La liste de mes Lectures estivales commence tout doucement à se remplir, et je prévois quelques belles escapades pour rythmer mes séjours à la plage ou au bord de la piscine. Mais six textes sont loin d’être assez pour remplir l’été d’une bête aussi vorace que le Sanglier Littéraire, quelques titres supplémentaires seraient donc les…
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Léon de Griffes, Les Vies d’Adèle
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Vous qui aimez les fantasmes, les belles femmes pulpeuses qui réclament leur droit à la jouissance, les scènes torrides qui ne laissent rien à désirer, le tout généreusement assaisonné de bonne humeur, vous allez être servis par ce recueil signé Léon de Griffes, Les Vies d’Adèle. Adèle est la protagoniste de quatre nouvelles où elle…
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Daniel de Kergoat, Les fleurs du Malt
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Voici donc l’instant fatidique tant redouté : Après Mes vingt ans et Mémoires d’un beatnik, je viens de terminer Les fleurs du Malt, troisième et dernier volet de la trilogie consacrée aux aventures de Dan, jeune militaire breton qui, en cette année fatidique de 1968, a succombé, comme tant d’autres, aux joies de la vie d’un…
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Daniel de Kergoat, Mémoires d’un Beatnik bas-breton
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On peut bien sûr se demander si le vécu est toujours la meilleure inspiration pour des textes littéraires, et le dicton de l’habitué bien rodé du Café de Flore affirmant sur un ton quelque peu dégoûté (comme s’il venait de marcher dans de l’autobiographique) que les premiers romans sont toujours autobiographiques, avec un sous-entendu que c’est après seulement…
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Daniel de Kergoat, Avoir vingt ans en 68
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Voici tout simplement un des plus beaux textes que j’aie jamais eu le bonheur de lire. Un texte où j’ai été accueilli par son auteur, comme s’il m’avait introduit dans sa vie, à la façon d’un copain croisé sur cette route qu’on partage tous, usée par des milliards de pieds, toujours neuve pourtant, toujours imprévisible…
