Catégorie : culture

  • Pene­ten­tiam nunc agite !

    Et voi­là, c’est le début du Carême, du man­ger maigre, le temps des ama­teurs de pois­son et de cas­tor, de tous ceux enfin qui, après que le Car­na­val a res­sus­ci­té, le temps de quelques pauvres jours, l’obs­cé­ni­té des corps en cha­leur des nuits d’é­té, ont hâte de traî­ner leurs fronts mar­qués du sceau de la…

  • Isaac Israëls (ces Impres­sion­nistes qu’on oublie, part IV)

    Isaac Israëls (ces Impres­sion­nistes qu’on oublie, part IV)

    Cela fait long­temps que je n’ai plus don­né de nou­velles de ces peintres impres­sion­nistes qu’on s’a­charne à oublier. Aujourd’­hui pour­tant, fruit du hasard de mes péré­gri­na­tions telaires, je suis en mesure de conti­nuer cette petite série, en vous fai­sant péné­trer dans les régions si fer­tiles qui s’é­tendent au-delà de la bar­rière de Quié­vrain, à savoir…

  • Petit retour sur la por­ta­ti­vi­té en littérature

    Petit retour sur la por­ta­ti­vi­té en littérature

    N’at­ten­dez rien d’im­pres­sion­nant, chers amis lec­teurs, de ce tout petit article dont le sujet m’a été ins­pi­ré par le livre que je suis en train de lire : abré­gé d’his­toire de la lit­té­ra­ture por­ta­tive, d’Enrique Vila-Matas. Avant de conti­nuer sur ma lan­cée, per­met­tez que je m’a­dresse, pen­dant un tout petit ins­tant, à ceux qui hantent les…

  • À tra­vers le monde et au-delà de l’Im­pres­sion­nisme : John-Antoine Nau

    À tra­vers le monde et au-delà de l’Im­pres­sion­nisme : John-Antoine Nau

    Connais­sez-vous, chers lec­teurs, le nom du tout pre­mier Prix Gon­court ? De celui donc qui a eu l’hon­neur de le rece­voir des mains de J. K. Huys­mans lui-même (qui dira, bien plus tard,  à pro­pos de ce pre­mier lau­réat que « c’est encore le meilleur que nous ayons cou­ron­né ») ? Moi, j’ai dû m’a­vouer vain­cu, je n’en avais…

  • La France qui bouge – impres­sions d’un mini-Festival

    La France qui bouge – impres­sions d’un mini-Festival

    En amont du petit fes­ti­val « La France qui bouge », il y a eu des ren­contres, dues au hasard, dans le cadre du mara­thon lit­té­raire des 24 heures d’é­cri­ture, en mai 2011. Ensuite, échange des coor­don­nées pour se repé­rer dans la vas­ti­té du réseau qui se tisse à l’é­chelle mon­diale. On s’y croise, on dis­cute, on…

  • « Raconte-moi ma jeunesse »

    « Raconte-moi ma jeu­nesse », c’est le titre de l’a­te­lier d’é­cri­ture qui se tient dans le cadre du fes­ti­val musi­co-lit­té­raire « La France qui bouge ». Sous la direc­tion de Vincent Ber­nard et de Gaëlle Todes­chi­ni, seize étu­diantes explorent un sujet inter-géné­ra­tion­nel et transfrontalier. Des extraits seront pré­sen­tés le deuxième jour du fes­ti­val, le 24 jan­vier 2012, à par­tir…

  • Défi­lé d’Or­say – la chair nue s’in­vite au musée

    Défi­lé d’Or­say – la chair nue s’in­vite au musée

    On a donc pris en otage les tableaux du Musée d’Or­say pour faire la pro­mo­tion de culottes et de sou­tifs. Certes, le public a pu jouir, pen­dant ce défi­lé d’Or­say, de l’ex­hi­bi­tion d’un peu de chair fémi­nine, mais le spec­tacle des tableaux est quand-même autre­ment plus exci­tant. Pour les inter­nautes qui auraient l’i­dée de se…

  • Akë­dys­sé­ril – ebook illus­tré dis­po­nible dans la Bauge Littéraire

    Comme vous le savez peut-être, j’ai déni­ché, il y a quelques semaines, deux petits joyaux dans l’é­crin lit­té­raire et artis­tique qu’est le XIXe siècle : le conte orien­tal Akë­dys­sé­ril, de Vil­liers de l’Isle-Adam, et huit planches de Marius A. J. Bauer gra­vées pour l’é­di­tion hol­lan­daise de ce même conte. Le texte est désor­mais dis­po­nible dans la Bauge Lit­té­raire,…

  • La France qui bouge : Du plai­sir de rece­voir des amis

    La France qui bouge : Du plai­sir de rece­voir des amis

    Il y a, comme sans doute vous le savez, un vaste ter­ri­toire qui s’é­tend, gros­so modo, entre le Rhin et la bar­rière de Quié­vrain, où se tisse, depuis la fin du IIIe siècle de notre ère, un réseau de contacts par­ti­cu­liè­re­ment dense entre les popu­la­tions de civi­li­sa­tion cel­to-latine et ger­ma­nique. Les allé­geances des ter­ri­toires et…

  • Gus­tave Bou­lan­ger : Tem­pus fugit

    Et oui, mes amis, le temps ne s’ar­rête jamais, et si quel­qu’un devrait conce­voir la fort mau­vaise idée de le rete­nir, il sor­ti­rait bre­douille d’une telle épreuve… Un bon petit conseil donc, regar­dez le temps pas­ser dans la bonne humeur et sur­tout, en atten­dant, amusez-vous ! Bonne Année 2012 à tous mes lec­teurs et à toutes…

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