En-tête de la Bauge littéraire

Meet Sum­mer !

Connais­sez-vous Sum­mer ? Depuis le temps, vous avez sans doute l’ha­bi­tude d’en­tendre bavar­der votre ser­vi­teur à pro­pos des mer­veilles de sa sai­son fétiche, l’é­té. Mais cette fois-ci, il est enfin en mesure de vous pré­sen­ter son incar­na­tion par­faite – Sum­mer ! Sum­mer est une belle jeune femme au grand sou­rire qui adore accueillir les gens en les ser­rant contre sa poi­trine opulente :

Nubrix, Meet Summer !
Nubrix, Meet Summer !

Comme vous devez le savoir depuis le temps, j’ai l’ha­bi­tude de han­ter les sites des­ti­nés aux créa­teurs, comme ArtS­ta­tion ou encore Devian­tArt. C’est sur ce der­nier que je suis tom­bé sur Nubrix, un des­si­na­teur fran­çais (fran­co­phone ?) que j’ai aus­si­tôt contac­té pour gen­ti­ment lui pro­po­ser de tra­vailler pour le San­glier. Pro­po­si­tion qu’il n’a pas pu refu­ser, évi­dem­ment, et qu’il a même favo­ra­ble­ment accueillie mal­gré un cahier de com­mandes appa­rem­ment très bien rempli.

Nubrix, A hug to remember

Je devrais peut-être briè­ve­ment men­tion­ner le fait que l’i­dée de rem­pla­cer la gar­dienne de mon site – l’in­com­pa­rable Lilith exé­cu­tée par Josep Giró – par une jeune femme plus accueillante, au moins le temps de la belle sai­son avec son lot de Lec­tures esti­vales, n’ar­rê­tait pas de me faire tour­ner les méninges depuis quelques semaines déjà. Et c’est une visite dans la gale­rie de Nubrix qui, par­faite séren­di­pi­té, m’a révé­lé ce que je cher­chais. Une belle jeune femme à la plage, les seins à l’air et les bras ten­dus en signe de bien­veillance, com­ment faire mieux, je vous le demande, pour faire sor­tir le San­glier de sa tanière obscure ?

Il m’a juste fal­lu quelques petits arran­ge­ments – cos­tume d’Ève (tenue assez com­plé­men­taire à celle de ma Lilith, je trouve), des che­veux fon­cés, des yeux d’un vert brillant (autre clin d’œil à Lilith et à toutes ces créa­tures démo­niaques et autres femmes fatales qui hantent l’i­ma­gi­naire mas­cu­lin depuis la déca­dence vic­to­rienne) et des formes encore plus épa­nouies – et le coup était joué. Et voi­ci que mes lec­trices et mes lec­teurs peuvent pro­fi­ter d’un accueil des plus cha­leu­reux et des plus sen­suels qui, je l’es­père, leur don­ne­ra envie de des­cendre dans les pro­fon­deurs de ma Bauge. Où vous aurez l’oc­ca­sion – pro­mis ! – de vous rin­cer l’œil et les méninges à coups de par­ties de jambes en l’air, de gali­pettes et d’é­bats en tous genres. Bonne visite !