
J’ai croisé la route de Maître Golov il y a à peu près six ans et demi, par un des hasards du web, grâce aux propositions des algorithmes de Google & Cie dont il faut croire qu’ils ont au moins une certaine idée à propos de mes goûts. Depuis, j’ai guetté l’occasion de mettre la patte sur un de ses dessins ou de lui commander une bannière pour la Bauge – rien. Et l’année passée, comble du malheur, j’ai raté la braderie annoncée sur Facebook. Mais comme celle-ci a lieu après la rentrée, et que c’est pile-poil la période de mes vacances – lesquelles, en plus, j’ai l’habitude de passer sur les plages du Roussillon, à deux pas de la tanière du Maître – ce n’était pas le moment. Tant pis, il y a d’autres artistes que j’ai pu découvrir et chez lesquels j’ai pu placer quelques commandes.
Mais malgré tout, les Belles Gueules du Maître continuaient à me narguer pratiquement à chaque fois que je me rendais sur le site pour regarder défiler les nouveautés. Et pour pleinement apprécier mon amour inconditionnel pour le Naturiste nihiliste, je vous dévoile que le lien vers son site figure dans la barre personnelle où je garde mes marque-pages favoris à portée de souris afin de pouvoir m’y rendre quand l’envie me prend de mater de belles femmes dénudées ;-)
Mais comme tout vient à point à celui qui sait attendre, cette fois-ci a été la bonne et j’ai pu participer à la braderie. Et j’y ai trouvé une de ces belles gueules que le Maître sait douer d’un charme si particulier tout simplement irrésistible. Je vous présente donc la belle inconnue que je peux désormais contempler en sirotant un des bons vins des Côtes catalanes ou du terroir de Collioure, et en me laissant emporter vers les contrées ensoleillées coincées entre mer et montagne où il fait si bon vivre.
Encore une fois, c’est moi qui ai choisi un titre, le Maître ayant l’habitude de coller un slogan politique sur ses dessins, des slogans dont on ne voit pas toujours le rapport à ce qui est représenté, même s’ils ne manquent jamais de verve et de – conviction. Après tout, c’est le naturiste nihiliste qui parle. Mais à contempler cette beauté, j’ai dû irrésistiblement penser à ce jeu qui consiste à se cacher le visage et à le dévoiler en criant « Peekaboo ! » Et le fait que ce mot désigne aussi des vêtements qui révèlent, par des trous, des fentes ou des parties transparentes, ce qui d’habitude reste caché n’est que une justification supplémentaire. Encore que le costume préféré des baigneuses du Maître est le plus souvent celui d’Ève.
Pour terminer en beauté, voici le dessin encadré tel qu’il sera désormais présenté à mes invités. Qui pourront ainsi profiter de l’amour du Maître pour la beauté de la femme telle qu’elle s’étale sous le soleil de son Midi.

Excursion : Le Peekaboo bikini
C’est en rédigeant cet article que je suis tombé sur le maillot Peekaboo, et je dois dire que c’est là une découverte qui ne saurait laisser indifférent ! Et comme on sait que Golov rime sur plage et nudité, ici est bien la place pour montrer à mes lectrices et lecteurs à quoi cela ressemble :

Je vous laisse à vos rêvasseries, en espérant que cette folie finisse par se répandre sur les plages du Languedoc…