On ne présente plus Josep Giró, le dessinateur catalan qui a signé une grande partie des en-têtes et des illustrations qui font de la Bauge un si grand délice pour les yeux. Et qui illustrent à merveille l’amour immense que votre serviteur porte à la saison estivale avec ses plaisirs balnéaires et charnels. Comment donc…
Quand on pense à l’été et aux vacances, nombreux sont ceux qui s’imaginent sur une plage déserte avec comme seule compagne la Grande Bleue, dans une solitude à peine brisée par l’une ou l’autre bestiole attirée par l’espoir d’un en-cas chipé des mains d’un estivant trop peu soucieux de ce qui se passe autour de…
C’est l’été (et quel été !), et la Bauge littéraire vous présente un titre de – June Summer. Comme s’il était nécessaire de renchérir… Certains se souviendront sans doute de son texte présenté dans une des éditions précédentes des Lectures estivales, Aventures libertines, le Cap !, un texte ayant cartonné il y a trois ans, l’occasion…
La couverture de ce texte ne laisse subsister aucun doute, et le titre vient confirmer cette première impression : Sex on the beach, c’est un récit d’aventures libertines. Et, en l’occurrence, les aventures libertines des auteurs, Mark Golding et Belinda Mosse, vécues dans le sud de la France, aux endroits mythiques d’un certain libertinage étroitement lié…
Avant d’entrer dans le détail, permettez-moi d’affirmer, sur un ton qui se veut jubilatoire, que ceci – et ce malgré un titre des plus indigestes et qui en plus n’a franchement rien à voir avec l’intrigue – est sans aucun doute le texte parfait pour illustrer des vacances réussies ! Deux adolescentes complices en bord de…
Franchement, comment imaginer un meilleur nom de plume pour faire entrer un de ses titres dans mes Lectures estivales ? June Summer, c’est déjà tout un programme, et le titre que j’ai choisi parmi ses nombreux textes, Aventures libertines, le Cap !, réunit tous les ingrédients capables de me faire rêver : le soleil, la mer, la plage, les…
L’un ou l’autre de mes lecteurs se souvient sans doute d’une de mes plus belles découvertes : Maître Golov, le nihiliste naturiste, le grand amoureux de la femme, dont les dessins sont tout simplement épatants par leur impertinence irrespectueuse, leur indécence rafraîchissante et leur humanisme qui ne recule ni devant la fragilité ni la faiblesse voire…