En-tête de la Bauge littéraire

Les Vacances, ou « Resis­tance is futile »

Les vacances dans la Bauge ? Et bien, ami esti­vant, lève tes yeux : cet en-tête est pour toi !

Et oui, ça y est, je cède aux flots d’i­mages et de sta­tuts (Face­book et autres) qui célèbrent les vacances, les échap­pées, la mer, la plage et tout le reste. Et je me rends à l’é­vi­dence que, mal­gré tous les efforts déployés, il y en a qui partent, peu importe le risque de vivre des vacances pour­ries, pour s’é­ta­ler désor­mais loin des endroits et des amis qu’ils fré­quentent dans leur vies si bien posées, à l’a­bri nor­ma­le­ment des intem­pé­ries, météo­ro­lo­giques et humaines.

La Bauge aus­si se met donc au rythme de cette sai­son esti­vale, avec ses dépla­ce­ments illu­soires, ses petites fuites incon­sé­quentes, ses ailleurs ima­gi­nés et ses eaux infes­tées de méduses ;-)

Mais pour res­ter fidèle à ma voca­tion de don­ner la parole à la beau­té et de lais­ser entre­voir les ves­tiges du para­dis ter­restre que l’Art est seul capable de conser­ver, je vous pré­sen­te­rai doré­na­vant des en-têtes aux allures esti­vantes, avec des pans de ciel bleu, des vagues à l’é­cume ver­doyante (« Hon­ni soit qui aux algues y pense »), des plages dorées et, de temps en temps, un bout de peau bron­zée dont l’é­cho vibre au-des­sus de toutes ces plages où la beau­té s’é­tale dans un spec­tacle qui ne rap­pelle rien autant qu’une bonne bou­che­rie bien « en chair ».

Et comme les en-têtes se vola­ti­lisent bien trop vite, je gar­de­rai un aper­çu dans une page qui leur sera désor­mais consa­crée.

Les vacances : un bout de ciel bleu, et le hait d'une falaise