L’un ou l’autre de mes lecteurs se souvient sans doute d’une de mes plus belles découvertes : Maître Golov, le nihiliste naturiste, le grand amoureux de la femme, dont les dessins sont tout simplement épatants par leur impertinence irrespectueuse, leur indécence rafraîchissante et leur humanisme qui ne recule ni devant la fragilité ni la faiblesse voire…
La toile est inépuisable – voici une vérité certes banale, mais qui continue à m’épater, chaque fois que je tombe, dans un de ses bas-fonds, sur un artiste qui sort, par quelque aspect que ce soit, de l’ordinaire. Cela m’est arrivé pas plus tard que la semaine passée quand, au détour d’une recherche « image » sur…