En-tête de la Bauge littéraire

Pene­ten­tiam nunc agite !

Et voi­là, c’est le début du Carême, du man­ger maigre, le temps des ama­teurs de pois­son et de cas­tor, de tous ceux enfin qui, après que le Car­na­val a res­sus­ci­té, le temps de quelques pauvres jours, l’obs­cé­ni­té des corps en cha­leur des nuits d’é­té, ont hâte de traî­ner leurs fronts mar­qués du sceau de la péni­tence dans la nuit sans fin de leurs regrets. Allez‑y, je ne m’y oppose pas. Mais, de grâce, sui­vez l’exemple de la Made­leine, et faites-le en beauté …