Et voilà, c’est le début du Carême, du manger maigre, le temps des amateurs de poisson et de castor, de tous ceux enfin qui, après que le Carnaval a ressuscité, le temps de quelques pauvres jours, l’obscénité des corps en chaleur des nuits d’été, ont hâte de traîner leurs fronts marqués du sceau de la pénitence dans la nuit sans fin de leurs regrets. Allez‑y, je ne m’y oppose pas. Mais, de grâce, suivez l’exemple de la Madeleine, et faites-le en beauté …