Comme les visiteurs un tant soit peu réguliers l’auront sans aucun doute remarqué, j’essaie d’introduire un peu plus de variété dans les éléments décoratifs – et structurants – de la Bauge. Si j’ai concentré jusqu’ici mes efforts sur les en-têtes – qui sont devenus légendaires et suscitent même une attention certaine de la part des artistes – j’ai quelque peu délaissé d’autres parties de mon chez-moi numérique. Ce n’est pas comme si je n’y avais jamais pensé, loin de là, mais mes en-têtes sont devenus un peu un fétiche pour moi. Si je me suis enfin laissé séduire par d’autres appâts que ceux de mes modèles couchés – un format qui demande pas mal d’efforts aux artistes – c’est en grande partie grâce à mes nombreuses visites sur DevianArt où la présence de belles femmes dénudées dans toutes sortes de positions a fini par me faire reconsidérer.
Et puis il y a eu une contrainte extérieure que je ne veux pas passer sous silence. Comme chaque visiteur de sites érotiques voire pornographiques a pu le constater, la loi demande de plus en plus souvent – et aux plus innocents parmi nous (loin de moi l’idée de compter la Bauge au nombre de ceux-là, hein !!) de placer un panneau de mise en garde devant l’entrée, un panneau censé tenir à l’écart les mineurs et / ou les âmes trop sensibles pour se frotter – ne fût-ce que par le regard – contre une forme quelconque de nudité. Pour satisfaire à une telle règle il me fallait évidemment une belle femme qui ne ferait qu’entrevoir ses charmes au lieu de carrément les exposer. Mais bon, défi relevé, et à vous de juger avec quel bonheur. En attendant, l’article que vous êtes en train de lire ne parle pas de mes cerbères, mais bien d’un modèle que j’ai choisi de placer à côté de mon contenu afin de mieux le délimiter et de permettre aux regards de naturellement glisser vers le bas en suivant les courbes d’une belle femme. Et le moyen de résister à un tel mouvement vers le bas quand un cul aussi beau et appétissant vous y invite ?
Quoi qu’il en soit de toutes ces considérations, toujours est-il que je passe beaucoup plus de temps qu’auparavant à réfléchir aux moyens d’introduire dans la Bauge plus de variété graphique, et voici une des nouvelles entrants que j’ai le plus grand plaisir de présenter. Il s’agit d’une ravissante beauté sortie de la plume d’un artiste croisé sur DeviantArt, à savoir Aurel Cham, un illustrateur allemand (un détail que je viens seulement de découvrir en parcourant sa page de profile. Du coup : « Bonjour, cher compatriote ! ») spécialisé dans les domaines du « ecchi » et du « hentai ». Quelqu’un donc qui évolue dans les sphères des perversions (hentai) et de l’indécence (ecchi). Vous finirez par croire que je le fais exprès… La vérité est d’ailleurs que je me suis laissé séduire par ses dessins, ceux-ci me parlant avec beaucoup plus de force que les paroles. Voici donc Lizzie – Elizabeth Fritz de son nom complet – qui désormais se fera un malin plaisir de mettre en valeur mes articles afin de faire naître ces appétits inavouables de chair fraîche qui finiront bien par réveiller l’ogre qui sommeille en vous.

J’ai d’ailleurs « adopté » la belle Lizzie, ce qui fait que vous verrez ma tronche s’afficher sur la page qui lui est consacrée. Aurel Cham y propose d’ailleurs toute une galerie de « personnages à adopter » où pullulent toutes sortes de beautés dans des poses plus ou moins indécentes, mais toujours alléchantes :

Et comme vous pouvez facilement le constater, les personnages ici-présents sont tout sauf innocents. Il suffit de contempler la fille agenouillée à droite en train de cracher le sperme que son amant vient de lui juter dans la bouche. Je ne sais pas vous, mais moi, cela m’inspire, et j’aurais presque envie de reprendre ma plume virtuelle afin de pondre un beau petit récit avec comme point de départ ce petit chef d’œuvre d’indécence ;-)
Je suis d’ailleurs en train de rédiger une page sur laquelle je vais rassembler toutes les médaillons et autres éléments graphiques introduits dans la Bauge afin de donner aux visiteurs le moyen de pouvoir les retrouver à tout moment. Parce qu’il va de soi que je ne vais pas m’arrêter en si bon chemin et que d’autres modèles prendront sans aucun doute la relève de la belle Lizzie. En attendant, profitez à fond de cette beauté épurée tout en longueur, avec des jambes jusqu’au cou (comme disait un chanteur allemand des années 80 du siècle précédent) et une crinière soyeuse que je vous souhaite de voir descendre sur vos poitrines.
Voici d’ailleurs, avant de terminer, un truc qui me taraude : Depuis que je suis tombé sur les textes de Penelope Lassalle aka Ero Tisme avec ses héroïnes aux poitrines « plate[s] comme une planche à repasser« 1 ou aux nibards qui rappellent « ceux d’une adolescente« 2, je me surprends de plus en plus souvent à contempler de tels nichons très peu saillants, dotés de leurs mamelons qu’il faut stimuler un max afin d’en tirer un concentré de plaisir. Et la Lizzie que je vous présente aujourd’hui, n’est-elle pas l’incarnation même d’un personnage doté de tels attributs ?