Chères lectrices, chers habitués du Sanglier ! Je ne vous apprends rien de nouveau vu qu’il suffit de regarder par la fenêtre, mais l’été est de retour. Et quel été ! Un ciel bleu et pur, un soleil resplendissant qui chauffe à blanc les terres et les mers et – bien entendu – les chairs qu’il incite (voire contraint) à se dénuder et à s’épanouir.
Est-ce que je vous cite les charmes des jeunes – et moins jeunes – beautés étalés sur la plage de Sète où votre serviteur a pu passer quelques jours pour célébrer le début de la meilleure, de la plus belle, de la plus inspirante des saisons ? Bon, je ne pense pas qu’il faille vous faire un dessin, bande de coquins et coquines, vous m’aurez de toute façon vu venir de très très loin…
Et, au cas où vous ne l’aurez pas remarqué – facile, je n’en ai pas parlé – j’ai glissé un petit article dans la Bauge pour célébrer un autre début de l’été, à savoir son début météorologique qui tombe – le 1er juin. Et comment passer à côté de June Summer pour un tel honneur ? June est effectivement une invitée de marque dans la Bauge et vous trouverez dans mes colonnes plusieurs de ses titres. Dont certains ont déjà fait partie de mes Lectures estivales. Et comment éviter de parler encore et toujours d’une autrice qui brandit un sobriquet tellement bien choisi pour se faire remarquer pour une série de lectures consacrées à la belle saison ?
Mais je parlais de mon séjour dans le Midi où j’ai donc eu l’occasion, pendant une semaine passée en grande partie à la Plage de la Fontaine, de jouir des merveilles de chair révélées par la chaleur et à contempler le mont Saint-Loup me faire des coucous depuis l’autre bout de la lagune.

Éminence aux origines volcaniques contre laquelle se love la station balnéaire du Cap d’Agde, sans doute une des plus célèbres de l’Europe quand il s’agit de parler de naturisme et de libertinage. La station régulièrement hantée par June, mais aussi, comme je l’ai appris depuis peu, par une autre de mes connaissances croisée à l’occasion de mes recherches de textes à me mettre sous la dent pour cette saison 2025 de mes sacrilèges Lectures. J’ai nommé Jean Arec dont vous aurez très bientôt des nouvelles. Et si les aventures de ses personnages sont un brin moins explicites que celles décrites par June, elles ne vous feront pas moins venir l’eau à la bouche pour autant. Et oui, c’est une promesse et en même temps un petit aperçu de ce que vous avez le droit d’attendre du gardien de cette Bauge !
Mais le Cap est loin d’être la seule localité que vous aurez l’occasion de visiter en compagnie des héroïnes alléchantes de ces hommes et de ces femmes que vous pourrez côtoyer pendant les semaines à venir ! Vous y aurez affaire à Thalia Devreaux et à Camille Dupont qui vous emmèneront toutes les deux sous les tropiques ; à Bernard Margeride qui vous conduira d’abord à Bordeaux et vous fera ressentir ensuite au plus près de vos neurones la chaleur qui règne dans les jardins de Provence ; à Jack Sabal qui vous permettra de vous glisser dans la peau d’un voyeur guettant les instants de plaisir de ses « Deux Anglaises » ; au Sieur de la Margeride encore qui fera d” « un de ces étés lumineux où les journées n’en finissent pas et où les chaudes nuits donnent envie de danser jusqu’au matin » l’époque des découvertes pour sa protagoniste Noémie, jeune professeure dans un lycée de Bordeaux – qui continue à dispenser des cours même après la fin de l’année scolaire ; et finalement, je vous remets entre les mains expertes d’Ana Servo pour vous emmener dans un road-trip vers l’Océan dont les protagonistes vous feront – promis ! – voir de toutes les couleurs.
L’été, une fois de plus, sera chaud dans la Bauge littéraire. Dont le propriétaire est fier d’avoir su vous concocter un cocktail composé de sensualité, de désir et de volupté. Un cocktail que vous pourrez déguster confortablement installé dans votre transat en train de voir défiler les belles filles et les beaux mecs et de préparer les excursions nocturnes pour mieux vous plonger dans l’ambiance estivale…