Tandis que l’Europe croule sous une vague de chaleur et que le début des vacances se fait encore attendre, quelle meilleure activité que d’imaginer de futurs déplacements, avec sur nos peaux la brise venue de la mer, les narines pleines des effluves balnéaires et la libido chauffée à blanc par les corps dénudés qu’on imagine…
Le titre qui nous occupe aujourd’hui, sixième dans la série des Lectures estivales 2016 du Sanglier littéraire, a été édité par une maison portant un nom aux connotations des plus juteuses, Le Divin Abricot. Cette maison ne donne pourtant pas l’impression de briller par ses activités, la partie la plus importante de son fond littéraire…